appréciation

Jump

Thomas P. Peschak a nommé sa photographie « Jump[1] ». Il a utilisé une caméra qui était ajustée de façon que l’ISO soit de 640, le F-Stop de 13.0, la vitesse de 1/1000 et le FOCAL LENGTH de 32.0 mm. Les dimensions de l’image peuvent varier puisque, comme mentionné plus haut, cela est une photographie. Par ailleurs, celles-ci peuvent être modifiées selon la plateforme et le moyen d’exposition. Peschak a capturé ce moment en 2017 durant un voyage en bateau sur l’océan Indien. Cette image a été exposée au World Press Photo à Montréal. Elle est, toutefois, maintenue dans le 2018 Contest Photo. 

 

On peut y voir une représentation de l’espace décentrée de façon que les rochers sont placés à la droite et à la gauche de l’image et que les pingouins sont placés à la droite de l’image. La préparation de saut des pingouins crée une diagonale, donc, crée, également, du mouvement. Tous les éléments que l’on peut voir dans la photo sont figuratifs puisque nous pouvons distinguer ce que l’on voit. On constate une texture représentée au niveau des pingouins ou de la mousse, car on peut voir leur duvet sans pouvoir y toucher. 

 

Je crois que l’artiste cherchait à démontrer le quotidien des pingouins, mais, de plus, les montrer, car c’est un animal en danger. Il démontre, de ce fait, le lien socioculturel et historique de pingouins. Le but de l’artiste est bien exprimé et compréhensible. Je compte réinvestir son thème, soit le quotidien, et sa représentation de l’espace de décentrer les éléments de son image.



[1]Peschak, Thomas. Jump [image numérique], 2017. In : World Press Photowww.worldpressphoto.org  (consulté le 2 octobre 2018).

 



retour réflectif

Dans cette image nommée Pause[1], nous voyons une jeune fille de dos photographiant des escaliers. Inspirée par la photo de Thomas P. PeschakJump, la signification derrière cette photographie est le quotidien, aussi simple que cela. Jumpillustre des pingouins sautant d’un rocher, ce qui représente leur quotidien. Le thème de Peschak a été réinvesti pour cette image. Pour ceux ne connaissant pas la jeune fille, celle-ci a pour but de s’en aller dans l’art des multimédias plus tard et c’est là où qu’intervient le thème. Pour elle, photographier est un passe-temps, donc qui fait partie de son quotidien. 

 

Pour ce qui est de l’aspect technique, l’appareil numérique a été mis sur le mode manuel où le temps d’exposition est mesuré à 1/250s, l’ouverture est estimée à 14 et l’ISO à 1600 comme vous pouvez le constater dans la capture d’écran plus haut. Les balances de blanc ont été fixées à l’option nuageux. La jeune fille est centrée dans l’image de façon à la mettre en valeur. Toutefois, la bâtisse de gauche réalise une diagonale ce qui crée du mouvement. Le poteau électrique, quant à lui, est décentré sur la droite. Elle se trouve à peu près sous la ligne d’horizon dans le tiers inférieur.

 

Dans ce projet, je crois avoir été chercheuse, car ce n’était pas un domaine dans lequel je m’y connaissais beaucoup. Lorsque je prenais des photos, je réglais mon appareil à automatique et je faisais confiance à celle-ci pour le résultat de mes images. Ce projet m’a, donc amené à me dépasser, à apprendre de nouvelle chose avec enthousiasme, mais, non seulement, de me casser la tête à trouver comment faire, de quelle façon, etc. En général, je suis très satisfaite de mes photos pour une première fois en mode manuel, mais je crois que, sur certaines photos, la lumière aurait pu être mieux contrôlée.



[1]Normand, Marie-Ève. Pause [image numérique], 2018. [collection privée]. 


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Voici une sélection de seize images que je considère comme les meilleures photos que j'ai pris.